Le 3 avril 1973, les chefs de file de l’industrie du secteur de l’épicerie au détail créent le code à barres, une innovation qui a révolutionné notre économie et notre société moderne.
Le Canada est le second pays au monde à lire les codes à barres, dans une épicerie Steinberg à Dorval (Québec).
Le Uniform Code Council (UCC) des É.-U. est nommé administrateur du nouveau code à barres Code universel de produits
Le 26 juin 1974, dans un supermarché Marsh situé en Ohio, un paquet de gomme à mâcher Wringley’s devient le premier produit au monde à être lu avec un code à barres.
L’Association de numérotation européenne des articles (EAN) est établie comme organisation de normes à but non lucratif à Bruxelles, en Belgique. Le nouveau code à barres EAN est entièrement compatible avec le code à barres UPC aux É.-U.
Les codes à barres traditionnels prennent de l’ampleur et sont utilisés au-delà des caisses enregistreuses. Elles se trouvent sur les multiemballages en gros, les caisses et les boîtes.
GS1 publie sa première norme internationale pour l’échange de données informatisé (EDI), permettant aux partenaires commerciaux d’échanger facilement des informations et de communiquer entre eux de manière efficace, sécurisée et automatisée.
GS1 s’étend dans le secteur des soins de santé en mettant en place des normes afin d’augmenter la sécurité des patients, de favoriser l’efficience de la chaîne d’approvisionnement et d’améliorer l’identification et la traçabilité des produits médicaux.
Les associations commerciales des fabricants et des détaillants en épicerie et en pharmacie demandent que le ECCC crée un catalogue national pour fournir un accès centralisé aux données de produits normalisés afin d’améliorer les opérations commerciales.
Les spécifications du DataBar de GS1 sont approuvées. Ces codes à barres empilés
En collaboration avec les associations d’industrie de l’épicerie, des services alimentaires et de la pharmacie au Canada, le registre ECCnet est lancé.
Au début du nouveau millénaire, GS1 est présent dans 90 pays.
Lancement du processus de gestion des normes mondiales de GS1
EPCglobal, inc. est formé pour innover et développer des normes pour l’étiquette à code de produit électronique (EPC) et pour appuyer l’utilisation de la technologie d’identification par radiofréquence (RFID), ce qui permet d’améliorer l’exactitude des stocks et d’augmenter la visibilité de la chaîne d’approvisionnement.
Le DataMatrix de GS1 est approuvé : il est le premier code à barres à deux dimensions adopté par GS1.
Le réseau mondial de synchronisation des données (GS1 GDSN) est lancé. Ce réseau de données des produits permet à n’importe quelle entreprise, où qu’elle soit, de partager facilement de l’information de produits de qualité supérieure.
ECCC est renommé et devient GS1 Canada, une organisation membre de GS1.
L’UCC et l’EAN fusionnent, créant ainsi une organisation internationale unique comprenant 101 organisations membres locales de GS1 (OM).
GS1 lance la première norme de traçabilité mondiale, ouvrant la porte à une interopérabilité et une transparence améliorées pour les chaînes d’approvisionnement.
Lancement de cinq conseils d’industrie et de secteurs : épicerie, services alimentaires, pharmacie, soins de santé CareNET et marchandises générales et biens durables.
Alors que le commerce électronique prend de l’ampleur, GS1 entre dans le monde du commerce de détail et explore les normes pour donner aux consommateurs un accès direct à l’information de produits par l’entremise de leurs appareils mobiles.
GS1 reçoit l’accréditation par le Secrétariat américain aux produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA américaine) d’agence émettrice pour les identifiants uniques des dispositifs (IUD) servant à identifier uniquement les instruments médicaux à l’échelle mondiale.
GS1 établit une nouvelle stratégie mondiale pour répondre aux demandes en matière de commerce omnicanale numérique, y compris la ratification de sa première norme
Le Conseil de l’épicerie lance un nouveau protocole d’industrie pour répondre au besoin commun de l’industrie en matière de contenus exacts et complets pour les plateformes de commerce électronique.
La BBC nomme le code à barres de GS1 l’une
Légalisation du cannabis au Canada : GS1 Canada appuie la catégorie du cannabis, notamment la création d’un groupe de travail national, l’alignement des normes mondiales des codes à barres pour les produits de cannabis et les exigences relatives aux attributs.
GS1 s’étend dans le secteur des finances comme émetteur accrédité d’identifiants d’entité juridique (LEI), les codes qui identifient de façon unique les entreprises qui participent aux transactions financières.
La plateforme de registre de GS1 (GRP) est établie comme source fiable des préfixes de compagnie de GS1 (PCG), du code article international (GTIN) ou des numéros de codes à barres et des codes lieux internationaux (GLN).
GS1 Canada est nommée
GS1 appuie l’industrie avec l’ambition de lire les codes à barres à deux dimensions, les codes QR et les codes à barres DataMatrix de GS1, au point de vente au détail partout dans le monde, d’ici la fin de 2027.
La norme Lien numérique de GS1 utilise les codes QR pour aider les consommateurs à accéder à d’importantes quantités de données autorisées par la marque sur le Web, y compris l’information de produits, les promotions, les ingrédients, les recettes et plus encore.
Un rapport conjoint de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et du Forum économique mondial (FEM) décrit le pouvoir de l’identification des produits et des lieux de GS1 qui permet de promouvoir un commerce transfrontalier plus efficace, inclusif et durable.
GS1 célèbre le 50e anniversaire du code à barres avec sa famille de 116 organisations membres locales de GS1. Plus de 1 milliard de produits portent maintenant les codes à barres de GS1, qui sont balayés des milliards de fois chaque jour partout dans le monde.